Noms de domaine
Si demain matin les noms de domaine étaient compris et gérés comme des titres de propriété immobiliers, la plupart des PME réaliseraient que leur fournisseur a commis une fraude en le leur «vendant». Parce que, dans la majorité des cas, le titre de propriété du nom de domaine a été mis au nom du fournisseur, PAS de l’entreprise. C’est comme si votre notaire avait mis votre maison à son nom.
Pour les petites et moyennes entreprises, les questions liées à leur nom de domaine sont généralement confiées au concepteur de leur site Internet. Les choses en restent là, jusqu’au moment où l’entreprise a un différend avec son fournisseur et tente de confier le contrôle de son site à une autre organisation. Et c’est là que vient la surprise: sur papier et aux yeux de la loi, leur adresse Web est propriété du concepteur ou de l’hébergeur de leur site original. Reste à entreprendre des démarches juridiques pour le récupérer ou, encore, céder au chantage du fraudeur.
Dans le... domaine depuis 1997, je peux vous dire que le scénario ci-dessus est le problème principal que j’ai observé. Dans certains cas, des emplois peuvent en être en jeu, sinon la survie de l’entreprise.
En votre nom, je peux m’occuper de toutes les questions liées à la gestion du nom de domaine de votre entreprise, m’assurant qu’au niveau technique vos droits juridiques sont respectés. Et, si jamais vous deviez à avoir à changer de fournisseur Web le moment venu, le changement de ne sera pas affecté par des questions de nom de domaine, parce que ce dernier continuera à être sous bonne garde, la mienne, pour vous.
Demandez à votre fournisseur de vous remettre une copie du titre de propriété de votre nom de domaine et, en admettant qu’il finisse par s’exécuter, vérifiez le champ «Registrant».
C’est pour ça que mes clients choisissent de retenir mes services.